Malgré un contexte mondial instable, neuf marchés africains ont amélioré leurs performances au cours de l’année écoulée. L’Afrique du Sud conserve la première place du classement Absa Africa Financial Markets Index, suivie de Maurice et de l’Ouganda.

Royal Air Maroc (RAM) et China Eastern Airlines ont signé un protocole d’accord visant à renforcer la connectivité entre l’Afrique et l’Asie.

Une infection sur cinq en Afrique résiste désormais aux antibiotiques, révèle le dernier rapport de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Depuis les élections municipales de 2019, le Togo a franchi des étapes majeures dans la mise en œuvre effective de la décentralisation, avec un impact positif ressenti sur l’ensemble du territoire. Au-delà des chiffres impressionnants liés aux budgets et programmes d’appui, les réalisations visibles sur le terrain témoignent de l’engagement profond du gouvernement à rapprocher les services publics des populations.

Réunis à Dapaong pour leur 140ᵉ session ordinaire, les évêques du Togo ont clos leurs travaux, le 19 octobre 2025, par un message empreint de gravité.

La tuberculose, perçue comme une maladie de la pauvreté et du désespoir, recule sur le territoire grâce à une stratégie nationale rigoureuse et à un engagement sans faille du corps médical. Les résultats sont éloquents : le taux de succès du traitement antituberculeux chez les patients nouveaux et en rechute, qu'ils soient guéris ou aient achevé leur traitement, ne cesse de s'améliorer. Une victoire sanitaire qui témoigne du sérieux d'une politique de santé publique résolument tournée vers l'efficacité.

Les personnes vivant avec un handicap ne sont plus laissées au bord du chemin. Grâce à une politique sanitaire inclusive et des efforts soutenus des autorités, un pourcentage satisfaisant d'entre elles bénéficie d'une prise en charge en réadaptation physique. Cette avancée témoigne de la volonté du pays de bâtir une société plus juste, où chaque citoyen, quelles que soient ses limitations, trouve sa place et son autonomie.

À une semaine du scrutin, le gouvernement ivoirien interdit toute manifestation politique en dehors de la campagne officielle. Une décision justifiée par la crainte de nouveaux troubles, mais dénoncée par l’opposition comme une atteinte aux libertés publiques.